Cette figure énigmatique, parée d’une coiffe ossifiée et portant un regard empreint de mystère, semble incarner une divinité oubliée. Les détails de son cou exposé et de sa coiffe sculptée évoquent une symbiose entre la chair et la pierre, une danse entre la vie et la mort. L’étoffe fluide qui enveloppe son corps contraste avec la rigidité de ses ornements, ajoutant une touche d’élégance à cette présence sombre.
Une silhouette féminine au torse exposé révèle un entrelacs de côtes et de chair, enveloppée dans un drapé organique rougeâtre évoquant la texture de la peau écorchée. À l’arrière, des formes sphériques semblables à des cœurs ou des fruits corrompus accentuent l’ambiance viscérale de l’œuvre. Les mains squelettiques renforcent la dichotomie entre humanité et décomposition, offrant une vision troublante de la transformation corporelle.
Cette figure intrigante et gracieuse se distingue par son visage marqué de cicatrices rouges vibrantes, tandis que ses traits angéliques sont enroulés dans des textures sombres qui évoquent des tentacules ou des branches. Sa posture délicate et son expression introspective dégagent une beauté fragile, amplifiée par l’éclat rouge de son vêtement fluide, qui semble flotter dans l’obscurité environnante.
